L’incubateur iPEPS – The Healthtech Hub
L’incubateur iPEPS – The Healthtech Hub a ouvert ses portes en 2012 et accueille déjà plus d’une vingtaine de start-ups partenaires de l’Institut. Cet incubateur offre un environnement unique, grâce à plus de 700 chercheurs et médecins présents à l’Institut du Cerveau – ICM, et grâce à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, le plus grand hôpital de neurologie en France (plus de 90 000 patients par an). iPEPS vise à accélérer la concrétisation d’idées en produits, en fournissant un cadre idéal pour l’épanouissement de projets de rupture. Depuis 2017, l’Institut du Cerveau et son incubateur iPEPS est le premier partenaire santé de STATION F, le plus grand campus dédié aux startups dans le monde. En 2021, l’incubateur a ouvert un nouvel espace d’accélération dédié aux technologies médicales et à l’intelligence artificielle.
iPEPS-Institut du Cerveau – ICM, c’est plus précisément :
· 2500m² de bureaux/laboratoires
· 3 espaces d’accélération dédiés à la biotechnologie, les technologies médicales et la santé digitale
· Espaces individuels sécurisés
· Accès aux 7000m² de plateformes technologiques de pointe (imagerie cellulaire, neuro-imagerie humaine, histologie, transgénèse lentivirale, biologie moléculaire, etc..)
· Accès au Centre d’Investigation Clinique de 1200m²
· Accès aux équipements du bâtiment (salles de réunion, visioconférence, cafeteria, etc..)
iPEPS apporte un soutien business aux entreprises incubées grâce à une équipe experte en science-business, de fortes compétences networking pour l’implantation eu Europe et une cellule dédié à l’accompagnement aux réponses aux appels d’offre et aux demandes de subventions.
iPEPS accueille aussi bien des entreprises développant de nouveaux médicaments que d’autres spécialisées dans les technologies médicales, comme par exemple les casques de lecture et analyse des EEG (les ondes électriques cérébrales) ; La structure héberge aussi des startups mettant au point de nouvelles solutions de diagnostic en vue de traiter plus tôt les maladies, ou des outils de « santé connectée » comme des jeux vidéo aidant au maintien de l’autonomie des personne âgées… Là encore, le décloisonnement est source de potentiels partenariats et créativité au service du patient